Le géant américain de l’industrie automobile General Motors obtient l’autorisation d’intégrer la F1

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L’américanisation de la Formule 1 prend de l’ampleur.

Après des années de discussions et de réticences de la part des autres écuries, l’entrée de General Motors (GM) dans la F1 a été acceptée. “Un accord de principe” a été conclu, a annoncé Formula One, l’organisateur du championnat du monde de F1 pour Liberty Media.

  • Le géant américain alignera une onzième équipe sur la grille à partir de 2026, sous la bannière de Cadillac.
  • Elle rejoindra MoneyGram Haas, l’unique équipe américaine actuelle, qui ne brille pas sportivement et n’aligne aucun pilote américain.

“Nous ne faisons qu’effleurer la surface de ce que nous pouvons réaliser aux États-Unis. Nous voulons nous assurer que la F1 est présente 365 jours par an”, a déclaré Stefano Domenicali, président de Formula One.

Fin connaisseur du sport automobile, Sébastien Bourdais s’est réjoui de cette perspective : “L’arrivée de GM assoirait définitivement la F1 aux États-Unis.”

La F1 a entrepris la conquête du marché américain grâce à la série documentaire Netflix Drive to Survive et à l’organisation de trois courses au Texas, à Miami et à Las Vegas.

Un moteur maison pour 2028

Malgré le soutien de la FIA, GM avait essuyé un premier refus en janvier. Le point de discorde était Michael Andretti, associé au projet de candidature. Il s’est retiré de sa société pour que l’accord puisse se concrétiser.

Michael Andretti ne souhaitait pas que GM conçoive son propre moteur, contrairement à la volonté de Formula One. GM développera son propre moteur pour 2028.

Le Monde

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