«Tu avais des frissons sur ta légitimité» : avec la BD «le Cas David Zimmerman», Lucas et Arthur Harari planchent entre frères

«Tu avais des frissons sur ta légitimité» : avec la BD «le Cas David Zimmerman», Lucas et Arthur Harari planchent entre frères

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Entretien croisé

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Rencontre avec l’auteur et le cinéaste, qui cosignent une troublante BD, thriller fantastique où un photographe migre dans le corps d’une femme inconnue. Obsessions et références synchrones d’un duo en osmose.

Lucas, le cadet, cheveux longs, petites lunettes, air de bon élève, arrive en avance au rendez-vous et attend, sagement, dans un coin de l’hôtel de Belleville où a lieu la rencontre. Arthur, l’aîné, déboule en retard, visage mouillé par la pluie, serre les mains et prend l’espace. Le premier est un espoir salué de la nouvelle génération de la BD franco-belge. Il s’est fait remarquer pour deux ouvrages, l’Aimant et la Dernière Rose de l’été, thriller en forme de dédale architectural pour l’un, enquête parano hitchcocko-lynchienne pour l’autre. Le second est cinéaste, comédien, scénariste, et a, entre autres prouesses (le sublime Onoda), empoché un oscar du meilleur scénario pour Anatomie d’une chute, avec sa compagne Justine Triet.

Les deux sont frères : les Harari se renvoient spontanément la balle, partagent un même réflexe de nuances dans

Libération

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