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Musique
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Les fratries forment souvent des associations inflammables dans la musique. Pourtant, certains parviennent à éviter les conflits destructeurs et d’autres en font le moteur même de leur créativité.
C’est une question qui traverse l’histoire du rock en mode mineur et qui revient en lumière à l’occasion de la reformation tonitruante d’Oasis. Groupes de rock et fratries, formule magique ou poison lent ? Cette question hante tous les fans des Jackson 5, des Beach Boys, d’AC /DC, de Van Halen ou encore d’Indochine, qui ont vu leur groupe favori rongé de l’intérieur par les jalousies et les querelles parfois puériles mais pouvant aussi témoigner des traumas de l’enfance. Comment éviter que les excès, la fatigue d’une vie sur la route et les pressions de l’industrie de la musique ne viennent saper une complicité a priori immuable ?
Un tas de groupes ont heureusement prouvé qu’il n’y avait pas de malédiction, qu’il était possible de perdurer sans finir, comme Ray et Dave Davies des Kinks, par se foutre sur la gueule devant leur public, faisant même de leur antagonisme remontant à l’enfance un de leurs moteurs. Citons notamment
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