Des responsables Renaissance ouverts à la nomination d’un premier ministre de gauche
Plusieurs responsables de Renaissance se sont déclarés vendredi ouverts à la nomination d’un premier ministre de gauche.
- Pieyre-Alexandre Anglade : « Ne fermons aucune porte, les lignes bougent et le PS saisit enfin la main tendue. »
- David Amiel : « La personnalité du premier ministre ou sa provenance ne doit pas être un point de blocage. »
- Eric Woerth : « On ne peut pas mettre d’exclusive, sinon c’est le pays qu’on va exclure. »
- Charles Rodwell : « Prêt au compromis mais pas à la compromission. »
Hervé Marseille (UDI) se montre plus circonspect : « Demander un premier ministre de gauche, ça ne s’appelle pas un dialogue, ça s’appelle une préemption. »
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