Corée du Sud : Le président échappe à la destitution mais son ancien ministre de la Défense a été arrêté

Corée du Sud : Le président échappe à la destitution mais son ancien ministre de la Défense a été arrêté

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En Corée du Sud, Yoon Suk Yeol reste au pouvoir pour l’instant.

Si le président a échappé à la destitution, son ancien ministre de la Défense, Kim Yong-hyun, est en mauvaise posture. Il a été arrêté dimanche matin pour son rôle dans la proclamation de l’éphémère loi martiale.

L’ancien ministre a été “arrêté et placé en détention” par une équipe d’enquêteurs chargée de faire la lumière sur le coup de force du président.

Yoon Suk Yeol visé par une enquête pour “rébellion”

Kim Yong-hyun a été identifié comme l’un des principaux artisans de la loi martiale. Son téléphone portable a été confisqué. Il s’est présenté de lui-même aux autorités et a été arrêté après six heures d’interrogatoire.

Il avait déjà démissionné après l’état d’exception déclaré par le président Yoon Suk Yeol. Ce dernier a dû abroger la loi martiale sous la pression du Parlement et de la rue. L’ex-ministre était sous le coup d’une interdiction de quitter le territoire. La police a également ouvert une enquête contre Yoon Suk Yeol pour “rébellion”.

Vers une démission plutôt qu’une destitution

Samedi, le président Yoon a survécu à une motion de destitution. Son parti a boycotté le scrutin, le rendant invalide. Le Parti du pouvoir au peuple a expliqué qu’il avait bloqué cette motion pour éviter “une grave fracture et le chaos”.

Le chef du parti a assuré que le président avait promis de se retirer et qu’il serait “largement exclu de ses fonctions” jusqu’à sa démission effective.

20 Minutes

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