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Dans l’œil de Libé
publié aujourd’hui à 16h31
La prison de Sednaya au nord de Damas est une sorte d’étoile à trois branches, gigantesque, qui aurait pu être confondue avec un centre administratif mais que chacun ici sait être l’un des pires enfers bâtis par le régime de Bachar al-Assad, déchu dimanche 8 décembre.
Omar Haj Kadour/AFP
Des personnes se dirigent vers la prison de Sednaya au nord de Damas à la recherche d’êtres chers, lundi 9 décembre 2024. Des sauveteurs syriens ont fouillé l’établissement, lieu des pires atrocités commises sous le régime du président déchu Bachar al-Assad.
Omar Haj Kadour/AFP
Des personnes courent vers la prison de Sednaya lundi 9 décembre alors que des membres du groupe de Défense civile syrienne, connu sous le nom de Casques blancs, recherchent des prisonniers sous terre, après que les rebelles se soient emparés de la capitale et aient annoncé qu’ils avaient chassé le président Bachar al-Assad.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
A proximité de la prison de Sednaya, lundi 9 décembre 2024.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
Des Casques blancs, accompagnés de combattants rebelles, à la recherche de prisonniers dans l’établissement de Sednaya, lundi 9 décembre 2024.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
Lundi 9 décembre, dans un couloir de la prison de Sednaya, où l’on aperçoit plusieurs cellules vides où s’entassaient les prisonniers avant la chute du régime de Bachar al-Assad.
Omar Haj Kadour/AFP
Dans les sous-sols de Sednaya, on progresse à la lumière des téléphones portables pour tenter de retrouver des survivants.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
Depuis plusieurs années, des rescapés de Sednaya ont raconté la torture, les humiliations ; les hommes, femmes et enfants enfermés dans des pièces sombres et exiguës ; les cellules surpeuplées et les prisonniers battus quotidiennement quand ils ne sont pas torturés à mort ; des hommes affamés, assoiffés, forcés de vivre la tête baissée sans le droit de parler ni de regarder leurs gardiens.
Omar Haj Kadour/AFP
Des combattants rebelles à la prison de Sednaya, lundi.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
A l’intérieur de la prison de Sednaya, lundi, qualifiée d’«abattoir humain» dans le passé par Amnesty International.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
A Sednaya lundi, des centaines de personnes tirent vers eux des liasses de papiers, interminables listes de milliers de noms, les balayent du regard dans l’espoir que par miracle ils reconnaissent celui qu’ils cherchent.
Amr Abdallah Dalsh/REUTERS
Lundi, à la prison de Sednaya, des centaines d’hommes se tiennent sur le toit, se bousculent dans la cour, cherchent partout autour d’eux, en quête de traits familiers, de proches à reconnaître.
Omar Haj Kadour/AFP
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