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Transports en commun, vélo, marche, voitures électriques… Après avoir analysé 71 critères, l’Oliver Wyman Forum et l’université de Berkeley ont hissé la capitale française à la deuxième place de son index de la mobilité urbaine, publié mardi 10 décembre. Et y précisent les efforts qui restent à fournir.
Les décisions prises par la mairie de Paris font souvent débattre, même si cela n’a pas suffi à empêcher Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo d’être élus et réélus depuis 2001. Un rapport américain valide en tout cas une partie des choix opérés par les deux édiles. L’Oliver Wyman Forum, think tank d’un cabinet de conseil en stratégie, et l’université de Berkeley ont publié mardi 10 décembre l’édition 2024 de leur Urban Mobility Readiness Index, un indice qui analyse la manière dont 70 agglomérations dans le monde se préparent aux mobilités de demain. Paris s’y classe deuxième, derrière San Francisco, la plus haute position pour la capitale française depuis la création de l’index en 2019.
Cinq chercheurs analysent 71 critères et trois sous-indices : transports publics, mobilité durable et, nouveauté pour cette édition, l’adoption des technologies. «Les technologies émergentes, des véhicules autonomes à l’intelligence artificielle, peuvent non seulement contribuer à rendre les services plus abordables et plus efficaces, mais sont également essentielles pour atteindre les objectifs climatiques», justifient deux des auteurs de l’index, Guillaume Thibault, expert associé
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