Sortir de l’hétérosexualité : «En fait j’aimerais que mon genre puisse être simplement “lesbienne”»

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Témoignages – Amour et sexualitédossier

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Lassées par leurs histoires hétéronormées, de nombreuses femmes se tournent vers le lesbianisme, la pansexualité ou la bisexualité à la fois par amour, dépit, curiosité ou acte politique. Dans notre septième épisode, Aémile, 25 ans, raconte comment iel appréhende son identité.

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La récente enquête de l’Inserm sur la sexualité des Français a révélé que 37,6 % des femmes entre 18 et 29 ans ne se considèrent pas comme «strictement hétérosexuelles» contre 18,3 % pour les hommes du même âge. Des auteurices avaient déjà abordé le sujet, comme Ovidie dans la Chair est triste hélas (2023), ou Juliet Drouar, qui propose une redéfinition des rapports affectifs dans Sortir de l’hétérosexualité (2021) en mettant de côté le genre pour s’intéresser aux personnes. Et si l’hétérosexualité stricte ne devenait plus, à terme, l’orientation sexuelle majoritaire ? Aujourd’hui, Aémile, 25 ans, qui travaille dans la culture et habite Paris et qui s’est rendu·e compte qu’iel n’était pas obligé·e de sortir avec des garçons.

«Plus jeune, je m’imagine bi, car j’ai des attirances pour des fille

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