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Lynch et le jeu vidéo, c’est l’histoire d’une rencontre espérée qui ne s’est jamais vraiment concrétisée. Comme tous les champs de la culture, son cinéma a infusé dans la création de jeux. Par la puissance de ses images mais aussi par le sens inné de la présence qui habite ses films, cette façon de saisir un lieu et une subjectivité. La seule trace des liens entre le metteur en scène et l’industrie se réduit à une pub réalisée pour Sony, en 2000, au moment où le géant japonais tente de positionner sa Playstation 2 comme objet à destination des adultes (The Third Place).
Mais deux ans plus tôt, Lynch semblait sur le point d’investir la création de jeu. A l’été 1998, on apprend par la presse spécialisée que le metteur en scène travaille à la création d’un projet intitulé Woodcutters from Fiery Ships. Il se chargerait d’en développer le récit, mais aussi les effets visuels et la musique, en collaboration avec le studio Synergy. L’entreprise japonaise insiste sur son implication et promet un jeu en «3D temps réel». Le Temps précise que Woodcutters est doté d’un
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