Un apéro avec Laurent Lafitte : « Il n’y a jamais intérêt à sortir de l’ambiguïté »

Un apéro avec Laurent Lafitte : « Il n’y a jamais intérêt à sortir de l’ambiguïté »

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Laurent Lafitte n’a presque pas dormi. Il rentre tout juste de Reims, où il vient de terminer T’as pas changé, deuxième long-métrage de Jérôme Commandeur. L’acteur vient d’enchaîner sept mois de tournage pour quatre films.

La première fois qu’on l’avait vu en vrai, c’était sur scène, en 2009, dans le one-man-show Laurent Lafitte. Comme son nom l’indique, dans lequel il mimait un fist-fucking dans une back room de boîte de nuit gay.

Loin aussi de ce Beyrouth à feu et à sang du Quatrième Mur, en salle depuis le 15 janvier, tragédie inspirée du roman de Sorj Chalandon (Grasset, 2013), où, Zadig moderne, il balade sa carcasse meurtrie dans le chaos d’une guerre dont il ne saisit pas les enjeux. Le « quatrième mur », c’est cette clôture imaginaire entre le public et la scène, l’écran qui sépare la réalité de la fiction. Ici, il va être fracassé par l’inévitable perte des illusions.

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Le Monde

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