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On ne pouvait tout bonnement pas anticiper que, par une nuit d’automne à l’épaisseur tiède dans le sud de la France, nous croiserions le chemin de Miley Cyrus, Dolly Parton, Michael Jackson, son fils «Blanket» (celui qu’il a failli jeter d’un balcon), Prince ou encore Sissi l’impératrice aka la fabuleuse Romy Schneider ? C’est pourtant bien ce qui nous est arrivé l’année dernière, début novembre au Théâtre de la Cité à Toulouse avec le show Dynasties de l’artiste performeur et drag-queen Sara Forever, seul en scène incroyable et tout de glam vêtu ayant pour matrice la question des «nepo babies» américains, ces rejetons de stars qui ont pu gravir, non sans talent mais plus aisément, les échelons du succès grâce aux avantages de leur lignée. Si le nom de Sara Forever peut sembler familier pour certains ou provoque même des hurlements de jeunes fans queers en folie, c’est que cette dernière est passée par la deuxième saison du populaire télé-crochet Drag Race France, concours diffusé sur France Télévisions adapté de la grande franchise américaine où plusieurs participantes drag se disputent la couronne à travers des défis qui sollicitent leurs tal
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