:quality(70):focal(3433x1922:3443x1932)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/D3MPPUOREZFGHPT2GIPYZU7AW4.jpg)
Le ministère de l’Education a-t-il fait des concessions aux franges les plus réactionnaires ? C’est ce que dénoncent les principaux syndicats enseignants alors que le texte définitif du programme d’éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité (Evars) doit être présenté et voté en Conseil supérieur de l’éducation ce mercredi 29 janvier. Sans aller jusqu’à la reculade opérée par le gouvernement de François Hollande, en 2014, sur le programme dit des «ABCD de l’égalité», cette dernière version a été édulcorée par rapport à celle présentée en novembre aux organisations syndicales. Selon son cabinet, la ministre de l’Education, Elisabeth Borne, a conservé les ajustements de fond proposés par sa prédécesseure Anne Genetet pour ne modifier «que des choses sur la forme». Toujours est-il que la ministre, qui défend un programme «indispensable», a validé plusieurs éléments qui font tiquer la secrétaire générale du syndicat d’enseignant SE-Unsa, Elisabeth Allain-Moreno. «De grosses précautions ont été prises. La notion d’identité de genre a été supprimée de nombreuses fois alors que c’est une terminol
Leave a Comment