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Quatre mois de compétition et une illusion, habilement entretenue par l’Union européenne de football (UEFA) et sa Ligue des champions new look : les seize équipes classées entre la neuvième et la vingt-quatrième place à l’issue de la huitième et dernière journée de la phase de groupe ce mercredi disputeront en vérité un barrage (1)… correspondant à des seizièmes de finale. C’est-à-dire les poules de l’édition précédente, se déroulant de septembre à décembre. Dit autrement, on aura énormément joué (144 matchs pour la phase initiale) pour sortir une poignée de sans-grades (les Suisses du Young Boys de Berne, les Espagnols de Girona, les Slovaques du Slovan Bratislava…) condamnés par avance. Trois équipes hexagonales se sont cependant débrouillées pour ne pas monter dans la charrette : le Stade brestois, le Lille OSC et l’AS Monaco ont d’ailleurs encore une vue (réduite) sur les huit premières places et la qualification directe en huitièmes (2). Et le Paris-SG, en déplacement à Stuttgart mercredi, est en ballottage favorable pour sortir également des poules.
Il s’est déjà passé beaucoup de choses, les uns partant à la découverte d’eux-mêmes, les autres se bricolant une culture européenne à partir d’une page blanche, d’autres encore soulevant le cœur de leurs supporteurs en dominant un contexte défavorable ou morose. Quatre équipes, quatre moments clés, ou les vrais visages de la représentation hexagonale lors de la compétition reine des clubs lors de cette saison 2024-2025.
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