Sophie Crumb : «Traduire l’œuvre de ma mère a été comme une psychanalyse post-mortem»

Sophie Crumb : «Traduire l’œuvre de ma mère a été comme une psychanalyse post-mortem»

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Cet article est publié dans le cadre du «Libé tout en BD», entièrement illustré par des dessinateurs et dessinatrices à l’occasion de l’ouverture du 52e festival d’Angoulême. Retrouvez tous les articles de cette édition ici, et le journal en kiosque ce jeudi 30 janvier.

On a connu Sophie Crumb d’abord comme personnage secondaire des comics autobiographiques de ses zinzins de parents, Robert Crumb et Aline Kominsky-Crumb. Puis comme artiste à part entière (elle dessine, peint, fait de la musique), et la voilà traductrice de l’œuvre de sa mère dans le recueil Sacrée Bunche tout juste paru, deux ans après sa disparition. Sophie Crumb nous raconte cette expérience quasi «mystique» et revient sur son enfance particulière au sein de cette «famille bizarre».

Est-ce après la mort d’Aline qu’est né ce projet de livre ?

Non, c’était avant, ma mère était au courant. Donc même si elle était déjà malade, elle a quand même eu cette validation de son vivant, et ça c’est génial. Parce qu’on pense tous qu’elle n’a pas été assez reconnue.

Vous saviez déjà à l’origine que vous alliez vous occuper de la traduction ?

Non, c’était une idée, mais je n’étais pas dans la même

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