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Après moult tergiversations, le programme d’éducation à la vie affective et relationnelle et à la sexualité (Evars), qui affole les réacs, devrait être mis en œuvre à la rentrée de septembre 2025. Mais, jusque-là, comment s’est forgée notre éducation sexuelle ? Ils ou elles témoignent, pour Libé, de leur propre apprentissage. Aujourd’hui, Boubacar (1), 23 ans, étudiant en management à Paris, raconte comment il a découvert la notion de consentement sur les réseaux sociaux.
«Au collège, avec mes copains, en pleine puberté, on commence à connaître nos premières sensations. Nous sommes dans l’ignorance totale de ce qu’est un rapport sexuel. Nous sommes de vrais gamins, immatures, qui ne connaissons pas du tout notre corps. En classe de quatrième, en cours de SVT, on nous parle de la reproduction en prenant l’exemple des mammifères marins sans jamais nous parler de rapport sexuel. Avant ça, je vois
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