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Un homme de droite en déplacement dans le Val-de-Marne sert les pinces de policiers municipaux, autrefois en première ligne lors des révoltes après la mort de Nahel. «De quoi avez-vous besoin pour être plus efficaces ?» questionne-t-il en assistant à la démonstration d’un vol de drone dans un gymnase, en ce pluvieux après-midi de fin janvier. Contre toute attente, ce n’est pas le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau. Mais le patron du groupe Droite républicaine (DR, les députés du parti Les Républicains) à l’Assemblée, Laurent Wauquiez, venu causer rénovation urbaine et sécurité du quotidien à L’Haÿ-les-Roses, en compagnie de l’ancien maire Vincent Jeanbrun, devenu député en juillet.
Dans sa bouche, les hommages au travail de «Bruno» sont récurrents. Car les premières notes d’un tube bien connu à droite montent dans l’air depuis quelques semaines : une baston entre barons. Les Républicains ont été décapités après la dissolution, par l’alliance de leur capitaine Eric Ciotti avec Marine Le Pen. Depuis, il n’y a officiellement plus de maître à bord. Ce mercredi 5 février, le bureau politique du parti doit se réunir à 11 h 30 à la Maison de la chimie, à Paris, pour présenter les premières conclus
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