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Après Dieu (le Richard Malka est en 9e position cette semaine), nous avons l’IA. Le sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle se déroule lundi et mardi au Grand Palais, mais ce week-end, on parle de ses implications culturelles, notamment à la BnF samedi et à la Conciergerie dimanche (complet, le sujet passionne). Est-ce que l’IA nous promet Un avenir radieux (le Pierre Lemaitre, toujours en pole position) ou une Cité aux murs incertains (le Murakami, qui n’a pas bougé) ? Ce qui est sûr, c’est que ses usages se répandent, entretenant une confusion croissante entre l’auteur (humain) et un double (algorithmique). A la veille de cette grand-messe laïque et tech, la Société des gens de lettres, au nom des auteurs de l’écrit, s’élève contre «le pillage massif» d’œuvres par les IA génératives. Elle a annoncé jeudi activer son droit d’opposition (ou opt-out) à l’utilisation par des acteurs de l’IA des livres protégés par le droit d’auteur. Sous peine de poursuites, y compris pénales. Demandez d’abord son accord à l’humain. F. Rl
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