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Lundi 17 février, après une polémique à la maison d’arrêt de Seysses (Haute-Garonne) autour d’une activité liée à des soins du visage – qui n’ont en réalité jamais été prodigués par des professionnels –, le ministre de la Justice annonçait un tour de vis concernant les activités autorisées en prison. Si Gérald Darmanin concédait que les «détenus devaient pouvoir se réinsérer après avoir purgé leur peine», et qu’il y avait «un travail important à faire en termes de réinsertion, y compris dans la prison», il estimait toutefois qu’il «était hors de question d’avoir des activités ludiques qui choquent tous nos concitoyens».
«J’ai demandé au directeur de l’administration pénitentiaire […] qu’une instruction soit donnée à tous les directeurs de centres pénitentiaires, de toutes les prisons, pour que nous ne nous limitions absolument qu’au soutien scolaire et à la langue française, à l’activité autour du travail et à l’activité sportive à l’intérieur de la prison», avance-t-il. Selon le ministre, il faut «désormais arrêter totalement ces activités dont personne ne comprend pourquoi elles existent».
Dans un mail envoyé aux directions interrégionales dans la foulée de cette annonce – et que CheckNews a pu cons
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