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C’est peut-être la seule conséquence positive du plan, aussi illégal qu’inapplicable, de Donald Trump de chasser les Gazaouis de chez eux : obliger le monde arabe à fournir une alternative. Les six dirigeants des monarchies du Golfe, ainsi que le roi jordanien et les présidents irakien et égyptien, se réunissent vendredi 21 février à Riyad (Arabie Saoudite) lors d’un sommet à huis clos pour tenter de mettre au point leur propre plan avant une autre rencontre programmée le 4 mars au Caire. Il ne s’agit pas que de trouver des fonds pour reconstruire la bande de Gaza, ravagée après quinze mois de guerre, mais aussi de définir quelle pourrait être une nouvelle gouvernance de l’enclave, contrôlée par le Hamas depuis 2007. Autant dire que la tâche est éminemment complexe.
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