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Le RN est un parti paradoxal qui, cofondé par d’anciens SS, ne souhaite pourtant pas être associé à des néonazis. Ainsi en est-il de la dédiabolisation du mouvement et de son président Jordan Bardella, contraint et forcé vendredi 21 février d’annuler son discours à la Conservative Political Action Conference de Washington après le salut nazi effectué par Steve Bannon.
Depuis vendredi, le RN est en opération sauvetage : pas question que le salut nazi de Bannon nuise d’une quelconque manière au parti. Et pour cela, la tactique est claire : faire de Bannon un «intervenant» quelconque qui n’aurait aucun lien avec le RN. Cela a commencé avec Bardella, présentant ainsi l’ancien conseiller de Donald Trump. Et cela s’est poursuivi le week-end, avec par exemple le député lepéniste Thomas Ménagé. Sur France 2 samedi, le porte-parole du
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