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Un classement s’apparente à un iceberg : dans ce top Datalib de trente livres, on ne voit que ceux qui submergent. Pour certains, c’est un abonnement au sommet. Un avenir radieux, J’emporterai le feu ou Bristol, sortis en librairie en janvier, y sont bien installés. Quelques nouveaux venus rebattent légèrement les cartes, tel les Renaissances de Agnès Martin-Lugand au milieu du sextet Gallimard, plus pingouin que poisson des grands fonds, ou Mon vrai nom est Elisabeth, enquête familiale de Adèle Yon, porté par un succès critique et sans doute le bouche-à-oreille. Dessous la barre des dix, il y a vingt autres titres qui se pressent. Un peu plus d’étrangers, d’essais, de la BD, de la jeunesse. Quelques-uns ont connu les cimes (Jacaranda 21e, Patronyme 24e, le Rêve du jaguar 27e, les Guerriers de l’hiver 29e), et doucement refluent, encore désirés. D’autres ont surgi (le Capitalisme de l’apocalypse 30e, Peur de mourir mais flemme de vivre 28e, Carnets d’Ukraine de Michel Hazanavicius 22e). La vague suivante arrive, mars attaque. F. Rl
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