:quality(70)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/KQSXJJK27NEIRNLZWUUCJIWPX4.jpg)
La multiplicité des relations intimes qui s’offrent à nous a de quoi donner le tournis. Parmi celles-ci, la fameuse histoire d’un soir. Celle qui découle d’une rencontre fortuite et qui, malgré son caractère éphémère, peut marquer. En juin 2024, une étude de l’Ined pointait que 21 % des 18-29 ans avaient connu une histoire d’un soir au cours des douze derniers mois. Mais ils ne sont pas les seuls concernés. Pour Libé, ils ou elles reviennent sur cette soirée mémorable, avec ou sans rapport sexuel, qui tient de l’anecdote farfelue ou reste un agréable souvenir. Dans notre cinquième épisode, Lilas (1), 37 ans, scénariste, se souvient de cet inconnu avec lequel elle a partagé une escapade mémorable.
«Je me suis séparée de mon premier amour quelques mois auparavant et je suis toujours triste, une mélancolie qui me colle à la peau et que je noie comme je peux dans les soirées et l’alcool. Mes potes organisent souvent de grosses soirées qui brassent beaucoup de monde. Cet été-là, nous sommes une quarantaine à danser jusqu’à l’aube. Les gens se dispersent et je n’ai pas envie
Leave a Comment