Où faire la fête après les manifs féministes du samedi 8 mars ?

Où faire la fête après les manifs féministes du samedi 8 mars ?

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Oui, la fête peut être un moyen de prolonger la lutte. Et le 8 mars, journée internationale pour les droits des femmes, n’échappe pas à la règle. A Paris,la nuit essaye de se réinventer depuis #MeToo, les propositions sont nombreuses cette année. Au Ground Control (XIIe arrondissement), tiers lieu culturel, l’association Nous Toutes Paris Nord propose aux manifestantes et leurs alliés de converger – gratuitement – pour «célébrer la joie militante» jusqu’à 0h30. Un format d’«after manif» également proposé par le collectif lesbien Dyke Menopause dans le restaurant et club A la folie (XIXe).

Plus intello, la revue féministe la Déferlante lance son 17e numéro à la Maison des métallos (XIe) – sur inscription à 10 euros – avec une table ronde, un quiz et un DJ set de Virginie Descente. Le Pavillon des canaux (XIXe) donne carte blanche à la journaliste Victoire Tuaillon jusqu’à 2 heures du matin, dans le cadre du festival Pop meufs. Les plus fêtardes peuvent ensuite se rendre en club version 8 mars : à Petit Bain (XIIIe), sur la péniche Mazette (XIIe), à la Machine du moulin rouge (XVIIIe) pour le «bal des hystériques» des Soeurs malsaines, et à la Station-Gare des mines (XVIIIe), pour le «bal des putes» d’un collectif de travailleuses du sexe.

En dehors des murs de la capitale, rendez-vous dans des rades, généralement queers et féministes, pour poursuivre la lutte. A Montreuil (Seine-Saint-Denis) par exemple, le bar à cocktails MontVenus confie les rênes de la maison à l’association Spectra records pour une soirée de soutien à la Maison des femmes, avec un show drag, des performances et des concerts (sur inscription, de 8 à 14 euros).

A Lyon, le café Rosa (VIIe arrondissement) invite les manifestantes à «un after manif» dès 18 heures – avec une cagnotte de soutien pour l’antenne locale du Planning familial – quand, à Toulouse, le bar queer la Gougnotte, dans le quartier Saint-Cyprien, et, à Nantes, le café intersectionnel féministe les Impertinant·es, organisent respectivement une soirée «kweer electro clash» et une «boum des adelphes» avec playlist participative.

Autres sauteries recommandées : à Grenoble, la cave à vin les Rutilantes accueille «la boum» du festival féministe Hystéries collectives tandis qu’à Marseille, la «boum» du bar LGBTQIA + Boum, près de la Plaine (VIe), s’impose après un détour par la «zone d’occupation féministe», à la Joliette (IIe).

Libération

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