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Le trône parisien ? La droite court après depuis 2001. Après les règnes de Jacques Chirac et de Jean Tiberi, la formation gaulliste perdait cette année-là l’hôtel de ville. Le prix de la baston entre le maire RPR sortant et Philippe Séguin. Chirac n’avait-il pas lui-même affronté en 1977 Michel d’Ornano, alors maire de Deauville, soutenu par Valéry Giscard d’Estaing, son grand rival ? Dans la capitale, les divisions à droite sont une spécialité locale. «On a payé le prix de l’improvisation, observe David Alphand, élu Les Républicains au Conseil de Paris et proche de Rachida Dati. Philippe Séguin arrivait d’Epinal, Nathalie Kosciusko-Morizet de l’Essonne…»
Candidate à la succession d’Anne Hidalgo, Rachida Dati fait savoir qu’elle se prépare. «Mon objectif, c’est Paris», disait-elle en janvier 2024, sitôt nommée ministre de la Culture. Déjà en lice en 2020, la maire du VIIe arrondissement connaît la condition sine qua non d’une victoire : rassembler derrière elle les chapelles de la droite et du centre – LR,
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