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Les murs de l’Assemblée ne sont pas imperméables aux tensions diplomatiques. Mardi 11 mars, le député communiste Stéphane Peu interpelle l’exécutif lors des questions au gouvernement. Détention arbitraire de l’écrivain Boualem Sansal, épineux dossier des OQTF, revirement d’Emmanuel Macron sur le Sahara-Occidental… «Jamais depuis l’indépendance de l’Algérie la crise n’a été aussi grave entre Paris et Alger», pose l’élu de Seine-Saint-Denis. Entre les deux pays, les tensions s’enveniment depuis des mois. Sans se substituer au «domaine réservé» du président de la République, ni aux plates-bandes du Quai d’Orsay, la diplomatie parlementaire entend jouer son (modeste) rôle. Notamment via les groupes d’amitié, ces collectifs d’élus se proposant d’entretenir les liens avec telle ou telle nation.
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