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Il n’a pas caché les inquiétudes, ni minimisé l’ampleur des menaces. Dans un long et ferme discours programmatique à l’issue d’une réunion de haut niveau sur la sécurité nationale, jeudi 13 mars à Taipei, le président taïwanais, William Lai, a déclaré qu’il allait prendre des «mesures plus fortes et plus proactives» contre les opérations d’infiltration de la Chine. Il a d’ailleurs qualifié son voisin de «force étrangère hostile». Avant d’appeler à la mobilisation les ministères de la Défense, des Affaires étrangères, de l’Intérieur et du Conseil de sécurité nationale.
En janvier, le Bureau national de la sécurité de Taiwan avait multiplié les alertes. Dans une série de notes, les services de renseignement du pays avaient documenté les actions de désinformation, d’espionnage, de cyberattaques et les campagnes d’influence menées par la Chine en 2024. Les enquêteurs taïwanais pointaient à la fois leur augmentation et les pressions sur t
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