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Quand François Bayrou retrouvait ses compères du Centre des démocrates sociaux dans les années 1990, il n’était pas rare que leurs soirées se prolongent en interminables parties de poker. Ses partenaires de jeu en gardent deux souvenirs : autour de la table, son alter ego, Marielle de Sarnez, était la plus redoutable de tous et le Béarnais, souvent imprudent, n’hésitait pas à bluffer sans avoir un jeu sensationnel. Le Premier ministre a-t-il conservé cette manie de surestimer sa main ? Fin janvier, dans le money time des discussions budgétaires, il a failli faire dérailler les négociations avec les socialistes en évoquant «un sentiment de submersion migratoire». Dimanche 16 mars, sur France Inter, il a exclu un retour à l
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