Dans la baie de Nice, un projet d’aire marine protégée accueilli avec espoir et recherche de garanties

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Biodiversité

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Si les scientifiques saluent l’initiative de la mairie de la ville visant à préserver la riche biodiversité locale, certains s’inquiètent pour leur activité et d’autres pointent les incohérences de Christian Estrosi, qui favoriserait le «surtourisme débridé».

A Nice, le nom de la baie surgit des fonds marins. Les pêcheurs ancestraux remontaient dans leurs filets de tendres requins : les anges de mer. Ainsi est née la baie des Anges. Ce croissant d’eau salée, lové contre la promenade des Anglais, fait aujourd’hui l’objet d’un projet d’aire marine protégée – l’un des principaux outils censés permettre de préserver au moins 30 % des océans d’ici 2030, comme le prévoit l’accord onusien de Kunming-Montréal signé fin 2022 et dont la mise en œuvre fait l’objet de négociations jusqu’à la fin de la semaine à la COP16 biodiversité de Cali, en Colombie.

Une telle aire serait une première pour une grande ville méditerranéenne. En cours d’élaboration avec l’ensemble des acteurs de la mer, elle est prévue pour «avant 2026». La troisième étape de la concertation démarre ce lundi 28 octobre. Peut-être sera-t-elle prête pour la Conférence des Nations unies sur l’océan qui se tiendra à Nice en juin 2025. Une «coïncidence d’agenda», assure-t-on à la municipalité.

«Un milieu fragile déjà soumis à une grosse pression»

Ici, la dernière pêche de requins-anges remonte aux années 50. «Ils ont probable

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