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A la barre
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Le procès de Gérard Depardieu, appelé à comparaître lundi 28 octobre pour agressions sexuelles devant le tribunal correctionnel de Paris, a été renvoyé au 24 et 25 mars 2025. Son avocat, Jérémie Assous, a profité de l’affluence pour commencer – en dépit de la procédure – à aborder le fond du dossier devant le tribunal.
Tout le monde était d’accord, l’affaire aurait pu être pliée en quelques minutes. Mais l’occasion était trop belle pour l’avocat de Gérard Depardieu, qui n’a pas hésité à se saisir de la salle comble comme d’une tribune. Ce lundi 28 octobre au palais de justice de Paris, afin de plaider le renvoi de l’audience – finalement accordé et fixé aux 24 et 25 mars 2025 –, Jérémie Assous évoque le quadruple pontage subi par son client, poursuivi pour agressions sexuelles, qui l’empêche de rester en position assise plus de six heures d’affilée. Il parle du diabète dont l’acteur a complètement perdu le contrôle depuis quelque temps. Cette dégradation de son état est liée à l’angoisse provoquée par l’arrivée du procès, tonne l’homme aux cheveux brillants de cire rebiquant dans la nuque, en agitant ses mains vers le public, dans la grande salle d’audience pleine à craquer de journalistes et de citoyens venus en soutien des plaignantes.
«Extrêmement affecté» par la situation, l’acteur serait dans l’incapacité de se présenter à l’audience, deux certificats
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