Pour le macroniste Charles Sitzenstuhl, «la gauche s’en sort très bien dans cette séquence budgétaire»

Selon le député du Bas-Rhin, la volonté de taxer les riches et les grandes entreprises s’est imposée dans l’opinion publique, au point que les défenseurs «d’une politique pro-business» lui semblent désormais minoritaires à l’Assemblée nationale.

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Groupe, collectif, club, ou convergence transpartisane de circonstances sur un amendement ou un scrutin. Pas toujours facile de s’y retrouver dans la nomenclature et l’organisation d’une Assemblée nationale balkanisée, où l’on repère parfois plus de fractures à l’intérieur même des groupes politiques, qu’entre eux. Sont ainsi apparus coup sur coup deux collectifs pendant les vacances de la Toussaint, l’un «social-démocrate» autour de la personnalité de l’ex-macroniste Sacha Houlié et l’autre dit de la «droite sociale» lié à l’ex-député Les Républicains Aurélien Pradié. Des objets politiques peu identifiés, construits l’un et l’autre autour d’un parlementaire qui siège