Enquête sur l’utilisation illégale du logiciel BriefCam par la police française
Une enquête interne a révélé des irrégularités dans l’acquisition et l’utilisation du logiciel BriefCam, utilisé par la police pour l’analyse vidéo.
Méconnaissance et utilisation illégale
L’enquête a constaté un cas d’utilisation illégale de la fonctionnalité de reconnaissance faciale de BriefCam lors des émeutes de 2023. Cependant, l’enquête n’a pas pu vérifier l’activation éventuelle de cette fonctionnalité dans d’autres cas.
- Méconnaissance générale du logiciel dans les services
- Mises à jour aléatoires
- Déploiement incohérent sans formation
Acquisition et mise en œuvre opaques
L’acquisition et la mise en œuvre de BriefCam ont été marquées par un manque de transparence :
- Achat réalisé sans expression de besoin
- Affectation au sein de la police nationale sans justification
Interrogations sur l’efficacité
L’enquête soulève des doutes sur l’efficacité de BriefCam, compte tenu de son coût élevé et de son utilisation incohérente.
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