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Conflit
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Un an et demi après le début du conflit, l’ONU a annoncé le 9 octobre la prolongation de ses investigations sur les violations des droits humains, alors que la famine et le choléra continuent de frapper la population.
Dimanche 13 octobre, un raid aérien de l’armée soudanaise a frappé en plein cœur de Khartoum, ciblant un marché sous contrôle des Forces de soutien rapide (FSR). Bilan : 23 morts et plus de 40 blessés. Ce nouvel épisode s’inscrit dans une intensification des combats dans la capitale soudanaise, depuis fin septembre, et rappelle l’horreur d’un conflit qui déchire le Soudan depuis dix-huit mois, sans issue en vue. Filippo Grandi, haut-commissaire de l’ONU aux réfugiés, décrit les conditions de vie dans le pays comme «apocalyptiques». «Si les gens ne sont pas tués par des balles, ils meurent de faim. S’ils survivent, ils font face à des maladies, des inondations ou aux menaces de violences sexuelles et d’autres abus horribles», déclarait-il le 4 octobre.
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Depuis avril 2023, le Soudan est en proie à un conflit violent opposant les FSR, dirigées par le général Mohamed Hamdane Daglo, dit «Hemetti», à l’armée soudanaise, sous le commandement
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