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Le ministre a de nouveau dénoncé, dimanche sur LCI, la plus grande absence pour raison de santé dans la fonction publique, mais sans en livrer encore toutes les raisons, pourtant énoncées dans un rapport publié cet été.
Le ministre de la Fonction publique n’en démord pas : les fonctionnaires sont bien plus souvent arrêtés pour raison de santé que les salariés du privé, et cette situation justifie un alignement de leur carence – comme le prévoit le gouvernement – sur celle du privé. Soit une hausse de un à trois du nombre de jours non indemnisés en cas d’arrêt, suivie d’une réduction de 100 % à 90 % de leur indemnisation à l’issue de la carence.
Sur LCI dimanche, Guillaume Kasbarian a ainsi répété son argumentaire déroulé le 29 octobre sur RTL, dénonçant une augmentation «de 80 % ces dix dernières années» du nombre de jours d’arrêt maladie dans la fonction publique.
Face aux chiffres de LCI sur l’hétérogénéité des situations entre les différentes fonctions publiques (étatique, hospitalière et territoriale), le ministre a bien dû admettre, cette fois-ci, que la «fonction publique d’Etat est plutôt bonne élève», avec 10,2 jours d’arrêt en moyenne par an et p
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