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Billet
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Si les cheffes et sommelières ont encore été les grandes oubliées du Gault et Millot, d’autres prix remis lundi 19 novembre leur ont donné plus de place.
On l’a écrit, réécrit, réréécrit : les cérémonies de remise de prix gastronomiques, du Michelin au Gault et Millau en passant par La Liste ou le 50 Best, où sont distingués chaque année les meilleurs restaurants, cuisiniers ou encore sommeliers du pays, se montrent cruellement muets lorsqu’il s’agit de mettre des femmes à l’honneur. Elles sont pourtant nombreuses à officier dans les cuisines des grands restaurants comme des bistrots, mais voilà : à en croire la liste des personnalités mises en avant depuis des lustres par les guides culinaires et consorts, pour être un grand chef, mieux vaut être un homme.
Lundi 18 novembre encore, le palmarès 2025 du Gault et Millau, rendu public dans la soirée au Trianon (XVIIIe arrondissement de Paris), n’a pas fait mentir ce constat : le cuisinier de l’année ? Un homme (Frédéric Anton). Les meilleurs restaurants ? Tous tenus par des hommes. Idem pour les sommeliers, directeurs de salle, et autres
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