Le bureau de l’Assemblée nationale a approuvé mercredi la création d’un “groupe d’amitié” France-Palestine, une décision hautement symbolique.
Une telle demande avait été formulée en mai, mais n’avait pas abouti, car ces groupes d’amitié impliquent normalement l’existence d’un Parlement, la reconnaissance de l’État par l’ONU et des relations diplomatiques avec la France.
Cependant, la gauche est devenue majoritaire au sein du bureau de l’Assemblée, ce qui a permis la création de ce groupe d’amitié.
Le Groupe d’étude à vocation internationale (GEVI) sur la Palestine, présidé par le député MoDem Richard Ramos, a été transformé en groupe d’amitié.
Ces structures disposent d’un budget et peuvent prendre des initiatives diplomatiques et culturelles, notamment auprès de Parlements et parlementaires étrangers.
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