Au procès de l’assassinat de Samuel Paty, un accusé de bonne famille élevé dans « les valeurs de la République »

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Fouzia N., mère d’un accusé au procès de l’assassinat de Samuel Paty

Fouzia N., conseillère d’éducation et référente laïcité, a témoigné à la barre en tant que mère de Naïm Boudaoud, accusé de complicité d’assassinat terroriste dans le meurtre de Samuel Paty.

Un paradoxe déchirant

Le paradoxe entre les principes républicains défendus par Fouzia N. et les accusations portées contre son fils a troublé l’audience.

  • “On lui a transmis les valeurs de la République, de respect et de tolérance, c’est comme ça qu’on s’est construit”, a-t-elle déclaré.
  • “La religion a toujours été chez nous synonyme de liberté.”

L’histoire de Naïm Boudaoud

Naïm Boudaoud n’est pas radicalisé, mais il a rencontré Abdoullakh Anzorov, l’assassin de Samuel Paty, dans une salle de gym.

  • La veille de l’attentat, Naïm Boudaoud a conduit Anzorov à Rouen pour rencontrer un ami.
  • Les trois hommes ont acheté un couteau dans une coutellerie.
  • Le lendemain, Naïm Boudaoud a déposé Anzorov devant le collège de Samuel Paty.

L’interrogatoire de Naïm Boudaoud

L’accusé a affirmé ne pas avoir su qu’Anzorov allait assassiner un professeur.

  • Il a expliqué avoir fait la grasse matinée le jour du meurtre.
  • Anzorov l’a inondé de messages menaçants à son réveil.

Le Monde

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