Elon Musk et Vivek Ramaswamy ont présenté leur projet de réforme du gouvernement fédéral américain dans une tribune parue dans le Wall Street Journal. Leur programme repose sur trois volets :
- Déréglementation
- Réduction des effectifs administratifs
- Discipline budgétaire
Ils veulent transformer la bureaucratie fédérale en un modèle d’efficacité inspiré du secteur privé.
Déréglementation pour libérer l’économie
Ils souhaitent abroger des règles qu’ils considèrent comme inconstitutionnelles, notamment en renforçant la doctrine de non-délégation.
Parmi les cibles figurent des institutions comme l’Agence de protection de l’environnement (EPA), la Commission des valeurs mobilières (SEC) et la Commission fédérale du commerce (FTC).
Une administration plus légère et responsable
Ils prévoient des mesures drastiques, comme la fin du télétravail pour les employés fédéraux.
Ils promettent de « redimensionner » les agences gouvernementales en éliminant les redondances.
Economiser 2 000 milliards de dollars
Ils proposent un audit complet pour éliminer les gaspillages et renégocier les contrats publics jugés trop coûteux.
Ils envisagent de cesser de financer des programmes et organisations qu’ils estiment non autorisés par le Congrès.
Ils prévoient de privatiser certaines fonctions non essentielles.
Des ambitions qui divisent fortement
Le projet du DOGE suscite des critiques. Les syndicats du secteur public et plusieurs groupes de défense des droits accusent les deux hommes de vouloir affaiblir des agences essentielles.
Pourtant, Elon Musk et Vivek Ramaswamy restent déterminés. Ils estiment que ces réformes sont indispensables pour un gouvernement efficace, responsable et en phase avec les citoyens.
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