Le 31 décembre 2009, Aurélie Croiziers de Lacvivier ingère du GHB à son insu, la “drogue du violeur”. Après un “vide absolu”, elle se réveille dans un salon de massage sans souvenir des événements.
Rentrée chez elle, elle subit un viol conjugal de la part de son conjoint, qui la soupçonne d’infidélité.
Quatre jours pour réaliser
Ce n’est qu’au travail qu’Aurélie comprend ce qu’elle a vécu. Avec l’aide de sa cheffe, elle porte plainte et découvre qu’elle a été droguée.
Un an et demi avant de reconnaître la double agression
Après une psychothérapie, Aurélie réalise qu’elle a subi une double agression. Elle éprouve de la culpabilité et de la honte pendant des années, et les stigmates ressurgissent à chaque événement important.
“Aujourd’hui, je suis heureuse de pouvoir témoigner, mais je dois rester humble car je ne sais pas si j’ai compris toutes les résonances de cette double agression.”
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