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Chez Pol
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Alors que le chantier de la RD86 a été suspendu par le tribunal administratif, l’exécutif d’Auvergne-Rhône-Alpes caricature les militants écologistes en une bande d’«extrémistes».
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En Ardèche, un certain nombre de routes mènent (toujours) au Puy-en-Velay. Alors que le tribunal administratif de Lyon a décidé le 15 novembre de suspendre la phase finale du chantier de la route départementale 86, la région Auvergne-Rhône-Alpes, qui a placé des billes sur le projet (près de 9 millions), ne cache pas son courroux. Dans son viseur, les militants écologistes suspendus aux arbres à Saint-Péray, une commune située le long de la vallée du Rhône où l’artificialisation menacerait près de 50 hectares de terres naturelles et agricoles. Suite à la décision du tribunal, la communauté de communes Rhône Crussol (CCRC), qui porte le projet, a reçu le soutien musclé de l’exécutif régional, oscillant entre insulte et diffamation, le tout nappé d’une couche de mauvaise foi.
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