Matthew Caws de Nada Surf : «Voilà comment je me suis retrouvé à jouer “Stairway to Heaven” pour Jacques Derrida»

Matthew Caws de Nada Surf : «Voilà comment je me suis retrouvé à jouer “Stairway to Heaven” pour Jacques Derrida»

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Interview

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Trente ans après sa formation à New York, le trio américain sort l’album «Moon Mirror» et joue au Bataclan vendredi 29 novembre. L’occasion de revenir avec son fondateur sur une histoire marquée par le plaisir, l’harmonie et des anecdotes parfois cocasses.

Cet article est tiré du Libé spécial auteur·es jeunesse. Pour la sixième année, Libération se met aux couleurs et textes de la jeunesse pour le Salon du livre de Montreuil qui ouvre ses portes le 27 novembre. Retrouvez tous les articles ici.

Certains groupes ont le pouvoir de stopper la marche du temps. Nada Surf est de ceux-là. Un nouvel album, Moon Mirror, lumineux, et une poignée de dates françaises valaient bien une rencontre avec Matthew Caws, 57 ans, le front man qui créa le groupe à New York il y a plus de trente ans.

Est-ce que vous ressentez encore une certaine excitation à voir «complet» inscrit devant la salle parisienne qui va vous accueillir ?

Oh, totalement ! Je suis tellement reconnaissant que notre succès soit venu quand j’avais la vingtaine passée. Nous avions déjà fait beaucoup de musique que très peu de gens avaient entendue. Le plaisir de jouer en groupe était déjà suffisant, et j’étais très en paix avec l’idée que cela n’irait pas plus loin. J’avais eu beaucoup de jobs et traversé des périodes de grande précarité. Nous savons à quel point nous sommes chanceux et nous avons apprécié chaque chose qui est arrivé depuis.

Le groupe existe depuis plus de trente ans. En lien avec le

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