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Interview
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Pour l’analyste politique Hamed Qusay, la mort ce jeudi 17 octobre de Yahya Sinwar est pour l’organisation terroriste le coup le plus dur depuis le début du conflit mais n’acte pas pour autant sa disparition.
Que reste-t-il du Hamas ? En un an et dix jours, le groupe a non seulement perdu des milliers de combattants dans les combats contre l’armée israélienne à Gaza mais aussi plusieurs de ses dirigeants, dont celui de la branche politique, Ismaïl Haniyeh, tué le 31 juillet à Téhéran, et, ce jeudi 17 octobre, Yahya Sinwar, qui l’avait remplacé et qui était aussi responsable de l’aile militaire à Gaza. Pour autant, selon Hamed Qusay, analyste politique à l’université libre Al-Qods de Ramallah, et auteur du livre le Hamas au pouvoir : la question de la transformation (éditions IGI Global, non traduit), l’organisation ne va pas disparaître. Elle pourrait en revanche voir son aile politique redevenir prédominante.
Le Hamas peut-il survivre à la mort de son chef Yahya Sinwar ?
Il s’agit sans aucun doute du coup le plus dur qu’a subi le Hamas depuis le 7 octobre 2023. Sinwar n’était pas un combattant comme les autres,
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