Paul McCartney a fait vibrer l’UE Paris La Défense Arena les 4 et 5 décembre, avec des concerts à guichets fermés.
Malgré une arrivée à l’heure, les spectateurs ont dû piétiner longuement entre la Grande Arche et l’Arena, retardant l’accès à la salle pour des milliers de personnes qui avaient payé cher leur billet.
Une foule multigénérationnelle
Sur scène, Sir Paul a enchaîné les titres des Beatles, dont Can’t Buy Me Love, parmi les 33 morceaux joués sans interruption.
Le public était composé de personnes de tous âges, des enfants aux personnes âgées, reflétant la carrière exceptionnelle et la longévité de Paul McCartney.
Un héritage à transmettre
Pendant 2h30 de spectacle, McCartney a porté et transmis un héritage musical, de ses débuts avec les Beatles (In Spite of all Danger) à ses compositions récentes (Now and Then).
Il a rendu hommage à John Lennon (Blackbird) et George Harrison (Something), ainsi qu’à son groupe post-Beatles, Wings (Junior’s Farm).
Live and Let Die, l’emblématique thème de James Bond, a suscité l’enthousiasme du public, tout comme My Valentine, dédiée à son épouse Nancy.
Un pèlerinage revigorant
Le concert a été un pèlerinage musical revigorant, avec des titres comme Getting Better, rappelant que la musique de McCartney fait partie de la vie de nombreux fans.
Bien que certains aient douté de l’authenticité de la performance, la guitare, la basse, le piano et la mandoline étaient parfaitement accordés, et la voix de McCartney, bien que parfois légèrement tremblante, a conservé sa puissance.
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